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> "La lutte contre le mur en images" - interview Shai Carmeli Pollak - SolidaritéS n°107 02/05/07





«Bil’in My Love» (Le mur de la colère)
bilin y love

film de Shai Carmeli Pollak Anarchistes contre le mur
2006 - 52 min - Claudius Films

Prix du meilleur documentaire au Jerusalem Film Festival, Prix spécial à Rotterdam au Movies that Matter.

Couronné au festival du film de Jérusalem, ce film retrace la résistance non-violente d'un petit village palestinien face à la construction du Mur de séparation. En 2002, l’Etat d’Israël a décidé d’édifier une barrière dans les territoires occupés, officiellement pour protéger ses colonies d’éventuels attentats. Mais pour Shai Carmeli Pollak, le réalisateur de ce documentaire, ce mur qui sépare les paysans palestiniens de leurs champs vise avant tout à créer de nouvelles implantations israéliennes.

Menacés par cette barrière qui avance, les habitants de Bil’in organisent chaque semaine des manifestations non-violentes pour tenter de faire reculer les bulldozers. Ils ont gagné à leur cause des militants venus parfois de loin. De plus en plus d’Israéliens en désaccord avec la politique de leur pays défilent, eux aussi.
Aux côtés des villageois, ils interpellent les patrouilles militaires de Tsahal. A chaque fois, celles-ci barrent la route aux manifestants et, en cas de résistance, dégainent leur arsenal: balles de caoutchouc, gaz lacrymogène, haut-parleur déversant des bruits stridents... Bilan: environ un millier de blessés et 11 personnes tuées depuis 2004.

A cela, les habitants de Bil’in opposent leur détermination et une incessante créativité. Chaque semaine, ils tentent de trouver l’action qui surprendra les soldats: inscription sur des pierres, défilés de personnes handicapées à la suite de blessures infligées par l’armée israélienne, et même ballons remplis d’excréments!
Le mur de la colère Immergé dans cette lutte aux côtés des Palestiniens, Shai Carmeli Pollak la filme de l’intérieur et sur le vif, captant les oliviers centenaires qu’on déracine, les arrestations brutales en pleine nuit, les flambées de colère entre habitants et soldats. Suivant le combat de plusieurs personnages - Rani, Wagee et Mohammed -, il nous montre les liens qu’il tisse avec eux et le visage quotidien de ce conflit.

Alors que la répression s’intensifie, le documentaire s’achève par une déclaration d’amitié de Rani à Shai et de Shai aux habitants du village, laissant espérer que ce début de rapprochement entre deux peuples permettra un jour d’en finir avec ce conflit.

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Jeunesse Volée (Stolen Youth)
stolen Youth
de Saed Andoni - 2004 - 20'
produit par Defense for Children International Palestine Section

Ce documentaire présente la situation des enfants Palestiniens incarcérés en Israël; à travers des interviews d'enfants ex-détenus, de leurs familles et de leur avocat, ainsi que des images exclusives de l'intérieur d'une Cour militaire israélienne. Le film, montre la douleur personnelle des enfants et de leur famille durant la période d'incarcération, tout en replaçant cette souffrance dans le contexte plus large de l'occupation des territoires Palestiniens.

Le DVD peut être commandé auprès de DCI-PS


stolen Youthstolen Youth
stolen Youthstolen Youth
stolen Youthstolen Youth
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The Iron Wall
the iron wall

un film de Mohammed Alatar
2006 - 58' - vo-st anglais
(version française disponible)

Ce documentaire, produit par le Palestinian Agricultural Relief Committees (PARC), traite des problèmes des colonies de peuplement israéliennes ainsi que du mur qu’Israël construit en Cisjordanie et leurs effets devastateurs pour les perspectives de paix en Palestine.

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"Paradise now"
paradise now
"24h dans la tête d'un Kamikaze"

un film de Hany Abu-Assad
Palestine 2005

avec Kais Nashef, Ali Suliman, Lubna Azabal
Sélection officielle Berlin2005 - Prix du Public, Prix du meilleur film européen, Prix Amnesty International

Deux amis d'enfance palestiniens, Khaled et Saïd, sont désignés pour commettre un attentat suicide à Tel Aviv. Engagés volontaires depuis plusieurs années dans une faction, ils sont liés par un contrat moral qu'ils ne peuvent ou ne veulent rompre. Ils passent une dernière soirée avec leurs familles sans pouvoir toutefois leur dire adieu. Le lendemain, munis de leurs ceintures d'explosifs, ils sont conduits à la frontière.
Mais l'opération ne se déroule pas comme prévu...

distribué en Suisse par www.frenetic.ch


 


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sortie Genève-Lausanne 28 septembre 2005






 

 

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"L'Accord"
l'accord
un film de Nicolas Wadimoff et Béatrice Guelpa
Suisse 2005

Ils sont accusés d'être des traîtres par leur propre camp, parfois insultés par leurs proches. La situation en Palestine et en Israël n'a jamais été aussi désespérée. Eux continuent à se battre aussi, mais pour faire cesser le conflit. La paix, pour ces Don Quichotte modernes, est un état d'esprit plus qu'un morceau de papier. Une année dans le quotidien de trois Israéliens et trois Palestiniens, signataires de l'Initiative de Genève. Un film sur le courage politique.

distribué en Suisse par MOA Distribution


 


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"La Fiancée Syrienne"
fiancée syrienne
fiction de Eran Riklis
France/Allemagne/Israël 2004

Avec Clara Khoury, Makram Khoury, Hiam Abbass
Primé au Festival de Locarno et au Festival de Montréal.

Le mariage de Mona est le jour le plus triste de sa vie.
C'est aujourd'hui que Mona, jeune fille d'origine druze, doit épouser une vedette de la télévision syrienne. Elle devrait être heureuse, mais elle sait qu'une fois entrée en Syrie, où l'attend son futur mari, elle ne pourra plus jamais revenir chez elle, dans son village du Golan occupé par Israël depuis 1967. Et qu'elle ne pourra plus revoir sa famille...

Dispersés aux quatre coins du globe, ses proches se retrouvent dans ce petit village du bout du monde pour fêter l'événement et faire leurs adieux à la future mariée. Entourée des siens, et surtout de sa soeur aînée Amal, Mona se sent plus forte. Mais c'est sans compter sur l'absurdité de la bureaucratie qui oblige bientôt toute la famille à attendre indéfiniment au poste frontière, coincée quelque part entre Israël et la Syrie...

Sortira en DVD en janvier 2006.
Distribué par OcéanFilms


 


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"Mur"
mur
docu de Simone Bitton
France/Israël 2004

L'histoire…
«Nous aimons tellement cette terre que nous l’emprisonnons»

MUR est une méditation cinématographique personnelle sur le conflit israélo-palestinien, proposée par une réalisatrice qui brouille les pistes de la haine en affirmant sa double culture juive et arabe.
Dans une approche documentaire originale, le film longe le tracé de séparation qui éventre l’un des paysages les plus chargés d’histoire du monde, emprisonnant les uns et enfermant les autres. Sur le chantier aberrant du mur, les mots du quotidien et les chants du sacré, en hébreu et en arabe, résistent aux discours de la guerre et se fraient un chemin dans le fracas des foreuses et des bulldozers.
Toute la beauté de cette terre et l’humanité de ses habitants sont off ertes au spectateur comme un dernier cadeau, juste avant de disparaître derrière le MUR.

Grand Prix aux festivals de Marseille, Jerusalem et Pesaro.

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Distribué en Suisse par AgoraFilms


 


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"Route 181
Fragments d'un voyage en Palestine - Israël"
route181

un road-movie documentaire
de Eyal SIVAN et Michel KHLEIFI

France/Belgique/Allemagne 2003

“Route 181” propose un regard inédit sur les habitants de Palestine-Israël, le regard commun d’un Israélien et d’un Palestinien. Pendant plus d’un an, les deux cinéastes se sont dédiés à la réalisation de ce qu’ils considèrent comme un acte de foi cinématographique.

À l’été 2002, pendant deux mois, Eyal Sivan et Michel Khleifi voyagent ensemble du sud au nord de leur pays. Pour accomplir ce voyage en terre natale, ils ont tracé leurs parcours sur une carte routière et l’ont intitulé “Route 181”. Cette ligne virtuelle suit les frontières de la résolution 181 adoptée par les Nations Unies le 29 novembre 1947 qui prévoyait la partition de la Palestine en deux Etats. Au hasard de leurs rencontres, ils donnent la parole aux hommes et aux femmes, israéliens et palestiniens, jeunes ou anciens, civils ou militaires,… Saisis dans l’ordinaire de leurs vies quotidiennes. Chacun de ces personnages a sa manière d’évoquer les frontières qui le séparent de ses voisins : béton, cynisme, barbelés, humours, indifférence, méfiance, agression,… Les frontières se sont construites sur les collines et dans les vallées, sur les montagnes et dans les plaines, mais surtout dans les esprits des deux peuples et dans l’inconscient collectif des deux sociétés.

Avec “Route 181, fragments d’un voyage en Palestine-Israël”, Eyal Sivan et Michel Khleifi nous invitent à un voyage déroutant à travers ce petit territoire aux enjeux démesurés.

distribué en Suisse par MOA Distribution


 


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"Ecrivains des Frontières
Un Voyage en Palestine(s)"
ecrivains des frontières
documentaire de Samir Abdallah et José Reynès
2003

A l'appel du poète palestinien Mahmoud Darwish, membre fondateur du Parlement international des écrivains assiégé à Ramallah, une délégation d'écrivains est allée en Palestine pour manifester aux côtés des Palestiniens une "belle collaboration linguistique" dans ces "hauts lieux de la spiritualité" (Ramallah en arabe) où le programme israélien d'humiliation est aussi une "guerre verbicide" : "Nous voulons écouter et faire entendre d'autres voix dans le fracas de la guerre, celle des écrivains, des artistes, des universitaires, de tous ceux qui préparent l'avenir...Opposer à la logique de la guerre, non pas une force d'interposition mais des forces d’interprétation ", dit l'écrivain français Christian Salmon, membre de la délégation internationale avec l'Américain Russell Banks, le Nigérian Wole Soyinka, le Portugais José Saramago, le Chinois Bei Dao, le Sud-africain Breyten Breytenbach, l'Espagnol Juan Goytisolo, l'Italien Vincenzo Consolo, accompagnés de Leila Shahid et Elias Sanbar...

Le carnet de voyage de cette délégation d'écrivains de huit pays a été filmé et réalisé par Samir Abdallah et José Reynès.

Distribution:
L’yeux ouverts
Samir Abdallah

Bp 624
92006 Nanterre Cedex


 


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"Terres de Femmes"
terres des femmes
documentaire de Jean Chamoun, Maï Masri
Liban 2003

avec Kifah Afifi, Samiha Khaled et Fadwa Toukan

Ce film est une rétrospective de l'expérience riche et inhabituelle de Kifah Afifi, une réfugiée palestinienne, survivante d'un massacre et qui a vécu six ans de détention dans la sinistre prison de Khiam, au Sud du Liban. A travers ses rencontres avec la poétesse Fadwa Toukan et la militante Samiha Khaled, le film nous donne une extraordinaire leçon de courage et un modèle de défi à relever face à toute forme d'injustice.

<< article AFPS sur ce film


 


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"Intervention Divine"
intervention divine

"Une chronique d'amour et de douleur"

fiction de Elia Suleiman
France/Palestine 2002

Avec : Elia Suleiman, Manal Khader, Nayef Fahoum Daher
Prix du Jury, Festival de Cannes 2002

A Nazareth, sous l'apparence d'une banale normalité, la ville est prise de folie. Alors que son entreprise périclite, un homme tente de prendre les choses en main pour briser le cercle des petites querelles. Mais il ne parvient qu'à se détruire lui-même. Cet homme est le père de E.S. Pendant ce temps, une histoire d'amour se déroule entre un Palestinien qui vit à Jérusalem et une Palestinienne de Ramallah. L'homme, E.S., évolue entre son père malade et cet amour, en s'efforçant de maintenir en vie l'un et l'autre. Du fait de la situation politique, la liberté de mouvement de la femme s'arrête au poste de contrôle militaire israélien situé entre les deux villes. Il est interdit aux amants de le franchir, et ils ne peuvent trouver d'intimité que dans un parking désert, juste à côté du check point. Dans l'incapacité d'échapper à la réalité de l'occupation, leur désir complice va engendrer des répercussions violentes. Contre toute attente, leurs coeurs blessés ripostent par des fantasmes qui se traduisent en prouesses étourdissantes.

Distribué par LIBERATIION FILMS asbl - Distributeur non commercial films et vidéos
e-mail : liberationfilms@skynet.be


 


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"Un ticket pour Jérusalem"
ticket to jerusalem
Fiction de Rashid Masharawi
Palestine/Pays-Bas 2002 Trigon-film

La vie sous l’occupation Le réalisateur Rashid Masharawi présente «Ticket to Jerusalem» comme un documentaire fiction. Ou l’inverse. Cela définit parfaitement son film, dans lequel la plupart des personnages jouent leur propre rôle (seuls les rôles principaux Jaber et Sana sont joués par des professionnels). Ce vérisme prend tout son sens si l’on pense aux conditions de tournage dans la situation le proche-orient. Un tournage qui ne peut se soustraire à la réalité ambiante: chaque scène risque d’être annulée. Et par exemple, lorsqu’un barrage bloque un accès, cela concerne aussi bien les personnages que l’équipe du tournage. En cela, le film offre une vision privilégiée de la vie quotidienne en Palestine occupée, de l’attitude des Palestiniens, faite de stoïcisme et de créativité. Selon les circonstances, il devient une fiction qui tourne au documentaire.

«Mon film montre la vie réelle, mais aussi l’espoir et les possibilités de changer les choses. Il n’est donc pas totalement réaliste et il finit bien, sur un happy end. C’est que je suis foncièrement optimiste! Ce qui est normal, car sans optimisme on ne peut pas faire du cinéma et de l’art en général. Mes films sont comme la Palestine, un projet de vie et d'amour, pas de mort.»

Rashid Mashawari

Distribué par LIBERATIION FILMS asbl - Distributeur non commercial films et vidéos
e-mail : liberationfilms@skynet.be


 


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"Promesses"
promesses
documentaire de B.Z. Goldberg, J. Shapiro, C. Bolado
USA/Palestine/Israël 2001

« Est-ce qu’un enfant palestinien a déjà tenté d’expliquer à un enfant israélien ce que nous vivons ? » Sanabel, fillette palestinienne

Entre 1997 et 2000, profitant d’une accalmie dans le conflit israélo-palestinien, le réalisateur américain d’origine israélienne B.Z. Goldberg a demandé à sept enfants juifs et arabes de donner leur vision du conflit au Proche-Orient. Les enfants sont à un âge où l’on vous demande rarement votre avis. Un âge où les discours d’emprunt ne résistent pas longtemps à la curiosité de l’autre.

Des camps de réfugiés de Cisjordanie aux colonies de peuplement israéliennes, en passant par Jérusalem écartelée, ce film s’attache à décrire ce que c’est que d’habiter aujourd’hui en Israël ou en Palestine et de vivre ce conflit de l’intérieur. B.Z. Goldberg a ainsi rencontré, interrogé et filmé sept petits israéliens et palestiniens, âgés de sept à treize ans, qui vivent à moins de vingt minutes les uns des autres, à Jérusalem et dans les environs, mais que séparent des barrières infranchissables, à la fois physiques et mentales. Au début, c’est le poids des préjugés et de l’ignorance qui frappe, et le ton guerrier domine : il est choquant d’entendre des paroles si dures dans la bouche de si jeunes enfants. Mais petit à petit les masques tombent et le rejet fait place à la curiosité de l’autre, mais aussi à l’envie de comprendre. On assiste aussi au questionnement des enfants par rapport à l’histoire de leur famille et de leur appartenance.

Les adultes sont très peu présents dans le film, (à l’exception de B.Z. comme les enfants lenomment), mais deux scènes les impliquant sont particulièrement touchantes et emblématiques. D’une part, les jumeaux israéliens Yarko et Daniel discutant avec leur grand-père, survivant polonais de la déportation, au sujet de l’existence de Dieu. Et d’autre part, cachés dans la voiture des réalisateurs, le jeune palestinien Faraj se rendant avec sa grand-mère dans son village d’origine où celle-ci se met à prier parmi ce qu’il en reste, c’est-à-dire un tas de cailloux, et où elle remet à son petit-fils la clé de la maison disparue. Il y a aussi Sanabel rendant visite, avec ses sœurs et sa mère, à son père emprisonné.

B.Z. Goldberg s’intègre entièrement dans le film en se mettant sur un pied d’égalité avec les enfants. Grâce à son sens de l’écoute, il va réussir à tisser des liens entre les deux parties, allant même jusqu’à les faire se rencontrer. Les jumeaux Yarko et Daniel passent ainsi pour la première fois de « l’autre côté », dans un camp de réfugiés, où ils font connaissance avec Faraj et Sanabel. On assiste alors à un match de foot « historique » entre les enfants. Cette amitié naissante restera hélas de courte durée.

L’épilogue, tourné deux ans plus tard, montre le fossé qui s’est creusé entre les enfants, maintenant âgés de 13-15 ans. Aujourd’hui, ces gamins s’affrontent peut-être. Mais leur rapprochement n’aura pas été vain. Le film se termine sur des images de nouveaux-nés juifs etarabes, comme pour nous dire que si ce n’est pas cette génération qui fera la paix, il faudra bien que ce soit la suivante.

Délaissant les discours et les slogans tous faits, « Promesses » se place à hauteur d’enfant.
C’est ce qui en fait la vitalité, l’émotion et l’humour: car chez les enfants, le drame n’est jamais loin du jeu, les larmes du rire. Leur expression spontanée est formidablement rafraîchissante et porteuse d’espoir : ils comprennent avec une incroyable légèreté la gravité des enjeux en présence. Ce qui rend ce film totalement poignant.

Le film a été primé dans plusieurs festivals de cinéma, dont le prix du public au Festival de Rotterdam, et une nomination pour l’Oscar 2002 du meilleur documentaire.

site du film www.promisesproject.org/

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"Al-Sabbar
(Figues de Barbarie)"
al sabbar
un documentaire de Patrick BÜRGE
Suisse 2000

Zuhaira Sabbagh, une Palestinienne possédant un passeport israélien dirige pendant ses loisirs un groupe de jeunes à Nazareth. “Armés” d’appareils photo, le groupe va à la recherche des ruines de villages arabes détruits par l’armée israélienne dès 1948. Les recherches de ces jeunes sont une forme de lutte pacifique contre la réécriture idéologique de l’histoire par Israël qui tente d’occulter complètement l’époque où les habitants de cette terre étaient arabes. Ce faisant, ils se heurtent à une forte résistance de la part de la population israélienne. Au cours de son enquête, Zuhaira Sabbagh rencontre le médecin suisse Hans Bernath et sa femme Madeleine. Vivant depuis 50 ans en Israël, ils ont vécu de très près les phases importantes du conflit au Moyen-Orient notamment en tant que délégués de la Croix-Rouge Internationale.

distribué en Suisse par MOA Distribution


 

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