L'agriculture, une cible permanente de l'occupant israélien
La région d’Halhul, près d’Hébron est réputée pour sa production fruitière et pour son raisin. Mais, depuis 2000, les entraves à la circulation des personnes et des biens se multiplient dans les Territoires palestiniens occupés par Israël. Couvre feux, check points, laissez-passer distribués au bon vouloir de l’armée entraînent une fragmentation du territoire et des pertes massives de produits agricoles. Les fruits autrefois vendus en Israël par l’intermédiaire de grossistes israéliens font aujourd’hui l’objet d’un boycott organisé par Israël.

La Coopérative Al Sanabel, un outil de la résistance civile
Pour faire obstacle à cette politique, l’idée est née de transformer une partie de ces fruits en jus pour différer leur commercialisation et en tirer un meilleur bénéfice.
En 2006, la coopérative Al Sanabel pour la Production et le Développement Agricole a vu le jour. Elle a rassemblé, en 2011, 320 agriculteurs.
En 2008, la Mission civile du Collectif Urgence Palestine rencontre les responsables de la Coopérative Al Sanabel et fait connaître ce projet en Suisse en accueillant à plusieurs reprises son représentant.
Puis, récemment, la décision est prise de rejoindre le réseau de soutien mis en place par l’AFPS Association FrancePalestineSolidarité.

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Des membres du Collectif Urgence Palestine (CUP) ont rencontré Bisan lors de leur dernière mission en Palestine le 26 avril 2010. Ils ont pu se rendre compte à quel point cette jeune fille était motivée pour poursuivre des études qu’elle ne pourrait entreprendre sans notre aide. Elle devrait s’inscrire très prochainement pour sa 2^e année de droit et nous lançons donc ce nouvel appel afin qu’elle ne s’arrête pas en si bon chemin.

Le CUP Nyon-La Côtea donc décidé de faire un appel de fonds pour apporter une aide aux habitants du camp en permettant à un/une jeune de poursuivre des études supérieures à l’Université de Naplouse (An- Najah). Le financement minimum pour une année d’études est de $ 2000.

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Afin de sortir les enfants du spectre de la guerre et de la violence, tous les spécialistes, comme le Centre pour la Santé mentale à Gaza (GCMHP) ou le Centre Palestinien pour les Droits de l'Homme (PCHR), l'UNRWA ou le Croissant Rouge Palestinien s'accordent à penser que le seul moyen de redonner goût à la vie aux jeunes Palestiniens est la culture, sous toutes ces formes.

C'est pourquoi l'association Meyrin-Palestine a entrepris la construction d’un centre culturel à l’intersection des trois camps de réfugiés, El Breij, Al Maghazi et Al Noussairat, dans le centre de la bande de Gaza. Le centre sera géré par le Palestinian Women Development Center et comprendra:
Rez-de-chaussée : crèche pour plus de 200 enfants.
Premier étage : espace pour le développement de la femme et de la famille.
Deuxième étage : salle polyvalente, espace internet, théâtre, salle de conférence, réfectoire.

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L'Association Palestinian Women Development Center (PWDC) a son siège à Tulkarem, ville du nord de la Cisjordanie, dans une zone rurale et très pauvre.

De 2005 à 2007, nous avons soutenu un projet du PWDC. Au cours de la première année du projet, il s’agissait de sensibiliser les femmes en vue des élections législatives palestiniennes de janvier 2006, de les inciter à voter, voire à se porter candidates.

Dans la deuxième phase du projet, l’objectif était de favoriser la formation de femmes occupant des postes à responsabilité dans des associations, des ONG, ou des institutions de l’autorité palestinienne.

Nous avons mis fin à notre soutien au Women's Development Center à Tulkarem après 4 ans de soutien. Grâce à votre mobilisation rapide et généreuse, nous avons pu envoyer, fin septembre 2009, les 10'000.- qui manquaient pour assurer le financement de la fin de la première étape du projet PWDC "Contre les violences faites aux femmes". Vous pouvez imaginer le soulagement de nos amies de Tulkarem! Et nous vous remercions infiniment de nous avoir aidées à remplir l'engagement que FenN avait pris envers le PWDC!

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In’Ash el Usra répond aux demandes d’aide présentées par les mères. L’emprisonnement, le handicap physique ou le décès du père, l’absence de revenu résultant de l’occupation militaire, rendent les conditions de vie de la famille excessivement précaires. Le parrainage contribue à combler la perte de ces revenus.

Un dossier familial complet est établi par le Centre et mis à jour régulièrement. Les coordonnées de l’enfant sont remises aux parrains/marraines qui peuvent entrer en contact avec l’enfant ou sa famille. Le Centre a pu constater le bienfait psychologique éprouvé par l’enfant qui reçoit votre aide.

Le montant du parrainage sert à maintenir la cohésion de la famille et couvre les frais scolaires de l’enfant. Depuis le début de la 2ème Intifada, le Centre porte essentiellement ses efforts sur les enfants du Nord de la Palestine, dans la région de Jénine et de Naplouse, particulièrement touchée par l’offensive militaire israélienne.

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